Après la campagne de Greenpeace qui reprochait à la marque de jouets Mattel de participer à la déforestation avec ses emballages non écolo, le créateur de Barbie est à nouveau sur le banc des accusés. Et cette fois-ci, c’est l’association Peuples Solidaires qui a dénoncé jeudi dernier, à l’approche de Noël, les conditions de travail des ouvriers de cette industrie en Chine, en mettant en scène en plein coeur de Paris un homme viril grimé en « Barbie en colère ».
Peuples Solidaires rappelle que 4 millions de personnes, principalement des femmes migrantes âgées de 15 à 30 ans, travaillent dans l’industrie du jouet en Chine, pour un salaire journalier moyen d’environ 3,50 euros. Toutes les secondes, 3 poupées Barbie sont vendues dans le monde. Même si la poupée Barbie a bercé nos enfances, elle mériterait bien de se faire définitivement quitter par Ken et surtout d’être boycottée par nous tous !
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